les mises à jour d'avril 2003

Grosse modification sur le Galet, avec la mise en place d'une plaque de laiton pour soutenir le bois, qui s'est fendillé après un choc. On le voit à côté de mon Opinel de travail (un n°9) et de mon nouveau couteau suisse.

Bon, c'est vrai que l'ensemble n'est guère photogénique : : je vais essayer de faire les raccords à l'étain, mais pour l'instant, la pièce est collée à la cyanolite. Elle vient fermer l'arrière du manche, et protéger le dos.

Le laiton s'accorde bien avec la couleur foncée du bois. Avantage supplémentaire, cet Opinel tient sur le dos.

Par rapport à l'Opinel de travail et au Noir, qui sont tous deux des numéro Neuf, on se rend compte de la compacité de ce numéro Dix.

Puisque l'on parle du Noir, le voici en cours de réalisation. Pas de différence pratique avec le modèle blanc et le modèle de travail. Peinture appliquée à la bombe, en plusieurs couches, plus vernissage polyuréthane en plusieurs couches également.

Voici le résultat. Sur l'Opinel de Travail (rouge), on voit le petit guillauchage que j'ai réalisé après avoir dû réparer la lame.

Le Noir est encore tout neuf, sa finition est brillante. Notons le différence de couleur entre les deux lames, l'une brut d'usine, et l'autre après quelques mois d'utilisation.

Comparaison entre les deux lames. J'ai brisé le bout de la lame du workopinel en l'utilisant. J'ai donc ratrappé la cassure à la lime. La parkerisation a bien tenu. Par contre, on voit que le bois a été bugné.

Globalement, après plusieurs mois d'utilisation intensive, le bois a bien tenu, et le vernis aussi. On remarquera surtout quelques bugnes sur les côtés, et un petit arrachement à la poupe.

Toujours dans les couteaux de travail, j'ai racheté un Victorinox après avoir perdu mon précédent, un Spartan.

Principale différence, l'absence d'anneau à l'arrière...
Il s'appelle Sportsman.

Et le remplacement de la seconde petite lame par une mini lime à ongles.

Enfin, le plus intéressant, ce modèle est plus petit d'un demi-centimètre que le précédent.

La fameuse collection Couteaux de France :

Pour le couteau... ben... disons que pour trois euros, c'est très correct. Les plaquettes sont dans une essence de bois... exotique, mais dépareillées, la plus jolie étant évidemment celle de gauche, pour la présentation. L'ajustage est so-so, mais j'ai vu des productions thieroises guère mieux loties de ce côté-là. Le mécanisme est simple et souple, assez agréable à utiliser. L'émouture laisse à désirer, mais la lame semble de qualité médiocre, ni plus ni moins. Il serait intéressant de connaître le chiffre de la production, et son coût de revient. L'avenir de la coutellerie française serait-il en Chine ?

Mon coutellier habituel m'a présenté quelques lames chinoises haut de gamme, très sympathiques, et à des prix très correct. L'équivalent d'un custom américain à trois ou quatre mille dollars pour moins de trois cents euros. Voila, voila... Sur le bouquin... en fait, le truc, c'est que c'est pas complètement inintéressant, mais que c'est hyper-léger, tout juste bon pour fourguer le couteau dans une maison de la presse.

Enfin, pour conclure ces mises à jour : un engin d'une autre trempe, une machette Ughetti customisée pour un ami suisse. Finition des bois améliorée et parkerisation de la lame, le tout dans un esprit rustique.