Un couteau automatique parmi mes nouveaux achats. J'ai un sentiment assez ambivalent vis-à-vis de ce genre de mécanisme.

J'adore le côté esthétique de la chose, lame puissante, couteau de mafieux ou de jeune skater, un côté assez pratique mine de rien, puisqu'il s'ouvre sans effort.

Mais honnêtement, je n'ai aucune confiance dans la fiabilité de ce surin. Avec un ressort en tension permanente, et même s'il est ma foi d'assez bonne qualité, il est un moment où le jeu du mécanisme va prendre de l'ampleur et finira pas céder. J'espère que ce ne sera pas à un moment désagréable...

On notera des pièces d'Euro (deux, un et vingt centimes pour l'échelle). A côté un Vendetta corse et deux Ecureuils de chez Cognet.

Gros plan (un peu flou, désolé) du tenon de blocage de la lame et de son orifice.

J'aime beaucoup le contraste de l'acier inoxidable, et chromé, avec la corne sombre du manche et le laiton (ou le bronze ?) des platines.

Le bouton qui déclenche l'ouverture de la lame. Classique.

Notons que ce modèle est relativement compact, et qu'il existe en des tailles supérieures.

Pour ceux qui se posent la question, le bouton se trouve sur le côté gauche du manche et ce que l'on voit, ce n'est pas le ressort, mais bien la lame (bien épaisse) du couteau, prête à se dresser.

Le système de sécurité (pour éviter que la lame ne s'ouvre dans la poche...). En haut, le bouton d'ouverture est bloqué, en bas, il est libre d'agir sur le ressort.

Le couteau automatique (probablement italien) avec un Vendetta corse.

Le système de déblocage de la lame. La garde s'abaisse, libérant le tenon de verrouillage.

La lame est inoxidable, mais s'aiguise facilement.

Trois modèles d'encombrement similaire : l'automatique, le Baraka et le Vendetta. Les pièces de monnaie donnent l'échelle.