On repart dans les poids lourds. A côté du Baraka qui en paraît même fluet, un poignard de fabrication taïwanaise. Je me suis contenté de scier le contrepoids arrière, pour équilibrer le couteau résolument vers l'avant, et de découper les quillons de garde, qui moulés dans la poignée en élastomère, avaient tendance à se déformer.

Le résultat : une lame lourde, solide et efficace.

On voit l'intérêt de ce poignard : une lame d'une épaisseur exceptionnelle, qui lui donne une masse impressionnante, avec une capacité de perforation très importante.

C'est un outil très efficace ; peu de torsion ou de casse à craindre. Sa prise en main est impeccable.

La lame est protégée par une sorte de parkerisation solide. A noter que sans les quillons, la prise en main est très confortable et se prête volontiers à de nombreuses manipulations.