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Sans le flash, on distingue mieux les marquages des
deux manches. Le chrome protège bien plus l'acier du manche
que le bronzage du Douk, qui subsiste encore, après deux ans
et demi d'utilisation, autour des rivets et de l'anneau de béliere.
Et quand on habite un pays chaud, on transpire beaucoup, ce qui peut
vite abimer un couteau oublié en poche.
On notera l'usure de la lame du Douk. |
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