Mon troisième Douk-Douk avec son remplaçant, un Baraka. Même masse, même profil, mais une protection de l'acier du manche plus correcte qu'avec le bronzage du Douk.
Sans le flash, on distingue mieux les marquages des deux manches. Le chrome protège bien plus l'acier du manche que le bronzage du Douk, qui subsiste encore, après deux ans et demi d'utilisation, autour des rivets et de l'anneau de béliere. Et quand on habite un pays chaud, on transpire beaucoup, ce qui peut vite abimer un couteau oublié en poche.
On notera l'usure de la lame du Douk.