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26 mars 2004


Je hais les gens qui mangent du poisson. L'odeur fade et fétide est déjà insupportable, mais s'il faut en plus subir les bruits de la mastication de mon voisin de table, c'est vraiment de la torture.
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Deux nouveaux Adam Ant & the Ants. Deutscher Girls et Il Duce. C'est très très grand. Ca va finir sur une de mes compiles au milieu de Bauhaus, de Boyd Rice, de Death In June et de Joy Division.

Il Duce

Five foot two
As proud as a stallion
A Popeye chin
And very Italian - he's

Il Duce
Benito Mussolini
Il Duce

A rose in your teeth
Uniform so neat (ooh!)
A fatty fascist
Hanging from your fat feet - he's

Il Duce
Benito Mussolini
They call him "The Fat Boy"

17 kids
A national brother
Scratching yourself
Conquistador's brother - he's

Il Duce
Benito Mussolini
Il Duce
Benito Mussolini
Il Duce
Benito Mussolini
The Fat Boy...
Deutscher Girls

we'll do the tango
we'll try the foxtrot
I'll eat a mango
you'll drink a straight scotch
you know I told you
you could be classy
so why did you have to be so nazi

remember the curls
of the Deutscher girls
camp 49 
way down on the Rhine

I'll fill your bath with
the finest champagne
I'll lick your skin dry
I cherish your name
the stakes get higher
as you dress sparsely
so why did you have to be so nazi

remember the curls
of the Deutscher girls
camp 49 
way down on the Rhine

I love your blonde hair
I kiss your pigtails
and I could not share
the scratch of your nails
and though you mock me
your eyes so glassy
oh why did you have to be so nazi

I said remember the curls
of the Deutscher girls
camp 49 
way down on the Rhine
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Parmi les nombreux critères de choix d'un nouveau couteau, voici l'ordre de mes priorité :
- l'utilisation : à quoi va me servir cette lame ?
- la préhension : est-ce que ma main est faite pour ce manche ?
- le prix : suis-je prêt à perdre ou à casser un couteau de plus de 400 francs ?
- la qualité de fabrication : la finition est-elle correcte ?
- la qualité des matériaux : l'acier tranche-t-il, la poignée est-elle solide ?
- l'esthétique : est-ce que ce couteau me plaît ?

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Je continue de compléter ma collection aléatoire de livres inspirés par Morrissey. Après Girlfriend in a coma de Douglas Coupland, et l'excellent Mauvais garçon de Russel (10/18), Les nains de la mort de Jonathan Coe (Folio).

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J'ai une technique pour faire tenir tranquille les autostoppeurs (ou -peuses) que je prends de temps à autre. C'est une compilation (en fait, plusieurs), que j'enclenche juste avant de prendre la personne en voiture. Le dernier en date s'est tenu coi pendant une demi-heure, accueilli en fanfare par Jean-Roch, le dj des nuits tropéziennes (perso, je trouve que c'est un morceau un peu sur-estimé. Sampler Rocky, c'était une bonne idée, mais c'est un peu too much. A noter que le prochain album de J-R s'appelera PPF). Bon, jusque là, rien d'extraordinaire, juste une petite faute de goût. Ce qui l'a vraiment traumatisé, c'est la suite, avec une délicieuse série de DAF, de Boyd Rice, de SantaXXX, de chansons coloniales, de Gogol 1er, de Diabologum, et de Trisomie 21.

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Lorsque j'ai rendu mon mémoire de licence, sur la culture homosexuelle, j'ai eu comme commentaire (en plus d'une note minable, mais méritée) : léger, vide, creux, original et atypique. Le seul truc de positif, c'est que je ne pouvais vraiment pas le renier.

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Je suis certain qu'une cicatrice m'irait très bien.