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24 mars 2004


Chacun trouve chaussure à son pied. Allez dire ça à un cul-de-jatte.
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Je maintiens le cap de mon régime (ouf, deux jours). J'ai zappé le petit déjeuner ce matin, faute de temps, mais je me suis offert une belle assiette de cassoulet dans mon restaurant habituel. J'en ai profité pour manger avec deux de mes baby-fafs, et discuter avec eux. Ils vont au meeting de Marseille, ce soir. Je ne les accompagne pas, parce que j'ai horreur de ce genre de raouts et surtout parce que je suis épuisé. Demain, le réveil est sur quatre heures quarante-cinq, vu que j'ai rendez-vous pour un contrat à six heures.

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Je continue toujours dans Mauvais garçon, ce livre est tout simplement extraordinaire. J'aurais tendance à le placer entre Moins que zéro (Ellis) et L'attrape-coeur (Salinger), ce qui n'est pas un mince compliment.

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La distance de l'horizon, voila quelque chose qui m'intrigue.

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J'ai envie d'écouter de la musique baroque, mais comme je n'ai pas grand chose sous la main, j'ai décidé de réécouter tous les morceaux des Smiths, de Morrissey et de Joy Division à ma disposition. Je vais sans doute essayer de compléter également ma collection de Death in June.

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Comme je n'ai pas grand chose à dire aujourd'hui, j'ai décidé de changer un peu l'interface pour la rendre plus compacte et pratique. J'ai hésité un moment entre William S. Burroughs et Ian Curtis. Si Burroughs est plus glamour, Curtis est plus mignon, donc j'ai choisi Curtis. Voila. Quant aux blaireaux qui n'aiment pas le rose, ils devraient un peu se tenir au courant et apprendre que le rose est super-tendance. Voila.

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Je viens de découvrir que, contrairement à ce qui était indiqué sur ma version du Rouge et du Noir, "incedo per ignes" ne signifie pas "je marche au travers des flammes", mais bien "je marche sur des charbons ardents", ce qui est tout de suite plus ridicule. Bref, je me suis bien fait braisé. Pour compenser le rouge qui me monte aux joues (bien que ça ne se voit pas, l'avantage du poil sur le non-poil), voici une anecdote concernant Cocteau, rapportée par Tournier dans son Vent paraclet. L'artiste était interviewé par un journaliste quelconque qui lui posait la question rituelle, à savoir, qu'emporter parmi les souvenirs innombrables et prestigieux conservés par Cocteau dans sa maison, en cas d'incendie. Sa réponse ? "Le feu !" D'accord, je raconte beaucoup plus mal que Tournier, mais j'ai pas mon bouquin sous la main.