Un blog national-esthétique.


Incedo per ignes.

 
 
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23 mars 2004


The Kingdom of Florides is a very large, devout nation, remarkable for its compulsory military service. Its hard-nosed, hard-working, cynical population of 76 million are ruled by a mostly-benevolent dictator, who grants the populace the freedom to live their own lives but watches carefully for anyone to slip up.

The minute government, or what there is of one, juggles the competing demands of Law & Order, Defence, and Religion & Spirituality. Income tax is unheard of. A powerhouse of a private sector is led by the Woodchip Exports, Retail, and Pizza Delivery industries.

A National Academy regulates grammar and usage, police officers are seen patrolling the streets armed with satellite-guided truncheons, streakers swamp all public events in order to bare it all, and protests are prohibited from blocking traffic. Crime is a serious problem. Florides's national animal is the dragon, which teeters on the brink of extinction due to widespread deforestation, and its currency is the franc.

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J'ai envie de réécouter un peu de Guy Béart. Parce que contrairement à Léo Ferré, ce qu'il a produit dans le contexte un peu science-fiction n'a pas trop mal vieilli. Par exemple, Etoiles, garde-à-vous ! (qui a donné le titre français de l'excellent livre de Robert Heinlein, Starship Troopers - eh oui, de Guy Béart à Paul Verhoeven...) ou Les temps étranges, qui est très huxleyien. Des ambiances très réussies.

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J'aime la viande, j'aime la chair, j'aime le sang - c'est le verbe aimer qui importe seul. (Michel Tournier, le Roi des Aulnes).

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Une journée assez amusante sur Inter : Bouvard chez Bern, James Ellroy au journal de treize heures, Jean Sevillia dans Deux mille ans d'histoire pour parler de l'ancien régime, Ray Lema qui se lamente de la place de Dieu en Europe... et un journaleux gauchiste qui s'est fait virer de Culture... J'aime la culture de droite !

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Grande folle, va ! Il paraît que je passe pour homosexuel (enfin, plus exactement, que ça ne passe pas). J'ai horreur de me justifier, mais comme le sujet (moi, en l'occurence) m'intéresse, j'esquisse une réponse. Ne vous attendez pas à quelque révélation que ce soit sur ma nature ou mes moeurs : une vraie mauvaise réputation ne se bâtit pas sans une certaine ambigüité. Il faudrait néanmoins prendre conscience qu'il existe une différence entre la prétention à une position esthétique (et de fait, nombre de mes référants intellectuels sont homosexuels, que je le veuille ou non) et le désir de s'introduire des objets dans le cul.

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Comme je commence à avoir de plus en plus le profil d'Hitchock, en plus poilu, j'ai décidé de me mettre au régime. Ce midi, j'ai donc pris une entrecôte sauce au poivre avec du gratin dauphinois (et une feuille de salade), ainsi qu'une délicieuse tarte aux figues confites. C'était bien servi et délicieux. J'en ai profité pour prendre le temps de manger, je suis assez fier de moi, j'ai réussi à rester presque trois quarts d'heure à table. En échange, j'ai abandonné toute la junk food.

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Je me suis trouvé un nom de domaine un peu plus simple que celui proposé par Odinsrage. Le nouveau nom est donc Mercutioclub.tk, et j'ai également fait une bannière sympa pour le présenter :

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Je viens de découvrir Willy Russell, avec son Mauvais garçon, le voyage initiatique d'un post-adolescent obnubilé par Morrissey. C'est excessivement drôle. L'ensemble n'est pas sans rappeler la cruauté anglaise d'un Boyd, d'un Amis, d'un Fry, d'un Hornby ou d'un Sharpe. Un grand nombre de situations sont tout simplement exquise (la scène du Fast-Food pédant est à se pisser de rire).

"J'aimerais mieux être un jeune mort qu'un jeune homme."