Un blog national-esthétique. Incedo per ignes.
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8 mars 2004 | |
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Préparatifs du voyage pour Nuremberg. Très fatigué dès avant de partir. Je suis fasciné par les expériences du Ténia, de MadOgre et de Kim Du Toit, J'aime l'idée de rejoindre la vaste foule des donneurs d'opinions et autres étaleurs de vie privée. | |
Ecoute intense de The art of driving, de Black Box Recorder, le side-project de Haines. Tastes like Bacharach. | |
La la la, la la la la la La la la, la la la la la You're quite precautious I know which button should be pressed Let's go out driving I'll wait until you pass the test We can get a hood down Throw away those learner plates You got the hang of steering Now try stepping on the brakes You've been driving way too fast You've been pushing way too hard You've been taking things too far Who do you think you are? La la la, la la la la la La la la, la la la la la Do you believe in love at first sight? Do you believe in fate? I believe the good things Only come to those who wait We've got to plan the journey Eliminate all mistakes Take the safe route It's called the art of driving Maybe wait until the summertime Maybe wait until December Because a heartfelt seduction Lasts a life time You've been driving way too fast You've been pushing way too hard You've been taking things too far Who do you think you are? It's called the art of driving The art of driving It's just the art of driving La la la, la la la la la La la la, la la la la la I wish you'd learn to slow down You might get there at the end Don't think the accelerating pedal Is the man's best friend You don't have to break the speed limit You don't have to break your neck Another dead boy-racer Cut out from the wreak You've been driving way too fast You've been pushing way too hard You've been taking things too far Who do you think you are? Maybe wait until the summertime Maybe wait until December Because a heartfelt seduction Lasts a life time It's called the art of driving It's called the art of driving It's called the art of driving The art of driving It's called the art of driving It's called the art of driving Just the art of driving It's just the art of driving The art of driving The art of driving It's called the art of driving It's called the art of driving The art of driving The art of driving The art of driving It's called the art of driving It's called the art of driving |
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Le
chaton m'a fait découvrir Paris-Violence.
A ma grande honte, je dois reconnaître un premier mouvement de recul.
Les textes maldororiens (so je
suis le fils de la femelle du requin), la voix à la Hadji-Lazaro,
le bontempi qui essaye de se faire passer pour une instrumentation...
Pas très heureux, tout ça. La première évocation
? Les
Inconnus parodiant Indochine
ou Cure
dans les années 80. |
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Note pour plus tard : "Tout hussard qui n'est pas mort à trente ans, est un Jean Foutre" (Lassalle). Voila qui va faire sourire ceux qui ne m'aiment pas, vu que l'échéance approche. L'idée du suicide m'emmerde un peu quand même. Si je me prends un platane à cent-quatre-vingt en sortie de virage, je tiens absolument à ce que mon épitaphe soit "Comme Jimmy". Sinon, il me reste les solutions romantiques (Montherlant, Mishima) ou pragmatiques (Burroughs, mourir dans mon lit à quatre-vingt-dix-ans après avoir passé ma vie à baiser comme un démon et ruiner mon organisme). Bah, il y aura bien un joli crétin pour m'incendier, me tirer dessus ou me planter. | |
Je deviens également de plus en plus fasciné par Morrissey. J'avais commencé à m'y intéresser par le biais de Douglas Coupland (Girlfriend in a coma). Je trouve que le National Front Disco est un de ses morceaux les plus fabuleux. Je me demande même de plus en plus si hors la musique baroque, il n'est de salut que dans la trinité The Smiths, The Pixies et Joy Division (Saint Ian Curtis, prego per noï). Bref, let's dance : | |
David, the wind blows The wind blows ... Bits of your life away Your friends all say ... "Where is our boy ? Oh, we've lost our boy" But they should know Where you've gone Because again and again you've explained that You're going to ... Oh, you're going to ... David, the winds blow National, ah ... But David, we wonder National Oh, the National |
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Mon Royaume fonctionne bien, mais je suis emmerdé par les mineurs qui veulent être augmentés. Tant que je ne pourrai autoriser mes citoyens à s'armer comme ils le souhaitent, je crains que le problème du crime ne se pose encore un moment. Ma décision d'autoriser l'extraction d'un peu d'uranium a semble-t-il sonné le glas de l'époque où les dragons gambadaient gaiement dans la campagne... Tant pis... les impôts augmentent, mais ne dépassent pas les quinze pour cents. Quoi, utopie ? | |
Je suis devenu un grand fan de Bunker. Non, pas le groupe. Quoique. A certain naive charm. Bref. Edward Bunker. Je fais de la lecture croisée entre Aucune bête aussi féroce et Good Omens du duo Pratchett/Gaiman. Le Bunker est aussi déséspérant qu'un film de Larry Clark qui aurait mangé du Bret Easton Ellis au petit-déjeuner. Je suis un petit délinquant, j'accumule les conneries, je fais pêter ma conditionnelle. Pour l'instant je cherche un complice pour braquer une bande de vieux mafiosi qui jouent aux cartes. La suite ? En Allemagne. Good Omens est un des romans les plus amusants que j'ai eu l'occasion de lire sur la lutte ineffable du bien et du mal depuis Le berceau du Chat. | |
These sensations barely interest me for another day, (Joy Division, Disorder) |
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