Hugh O'Conor Est Le Roi
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Suite de l'affaire Faye :Le Libre journal… m’a violemment mis en cause dans son numéro du 24 avril (n°321), par un procédé qui n’est guère dans les mœurs de la France Courtoise. Le coup m’oblige à restituer l’époque et le contexte de mes propos, au demeurant d’une fidélité sujette à caution, ainsi que mes raisons. Mais auparavant, je note que le courageux auteur de ce “piège” est resté anonyme et a signé “X”. Aurait-il peur ? Ou, plutôt, a-t-il pris conscience de l’illégalité de son procédé ? Quand on veut dénoncer, il faut se dévoiler. La lâcheté et l’ignominie font bon ménage et la crédibilité est incompatible avec l’anonymat. Quand je « piégeais » des gens à la radio ou dans la presse, j’avais le cran de signer. Vous ne l’avez pas au Libre journal. Etes-vous donc si “libres” que cela ? Curieusement et paradoxalement, vous prétendez vilipender les « Mouchards de la pensée ». Est-ce de l’autocritique ? J’ai le vague souvenir, voici quatre ans, d’avoir tenu à deux bras-cassés, qui m’ennuyaient de leurs questions insistantes et débiles, des propos volontairement délirants, destinés à les choquer, et ceci par jeu. Je racontais n’importe quoi, comme j’aime le faire avec les importuns à petite cervelle, dans le seul but de m’amuser. C’est ma nature. D’ailleurs, aucun des propos qui me sont attribués ne résistent à la moindre vérification, puisque tout ce que je suis censé avoir dit relève du gag le plus pur. Un peu de raison : il est possible de vérifier, par exemple, que je n’ai pas tourné dans le film X “La Clinique du bonheur” (1998) ; il est évident que je n’ai pas collaboré à quelque film que ce soit de Moati débinant l’“extrême droite” ni à on ne sait quel dossier du Nouvel Obs et ce malgré l’écoulement de quatre années… Le temps passe et rien de tel ne se produit ! Et qui, sur la place de Paris et ailleurs, peut me croire vénal (« Moi, je fais ça pour le fric » ? Si je voulais faire du « fric », serais-je revenu vers le combat identitaire, écrivant de ce fait pour des tirages assez peu lucratifs, de surcroît en butte aux condamnations judiciaires ? Condamnations dont le coût ne pourrait être couvert par cent conférences au cachet de « 1500 balles » ! Et ce n’est pas fini, puisque maintenant c’est le ministre de l’Intérieur qui nous poursuit, moi et mon éditeur, sur ordre de Sarkozy… Cela dit, c’est vrai que « sur le plan humain, je préfère nettement les mecs d’extrême gauche » à un type tel que celui qui m’a piégé ! Il n’y a pas photo. Un mot enfin sur le procédé. J’observe que dans son texte de présentation, le Libre journal me reproche mes « discours incendiaires [qui] poussent des jeunes militants à des gestes qu’ils paieront toute leur vie ». Voilà un admirable argument : c’est celui des adversaires de la liberté d’expression pour légitimer la censure. Là réside la justification de « provocation à la haine… », issue de la loi Pleven (article 24 de la loi du 29 juillet 1881) ; là réside la notion d’« apologie de crime » (même article) utilisée contre les révisionnistes et qui sous-tend plus généralement la loi Gayssot. Je trouve déplorable que votre revue consacre tant d’énergie à m’attaquer, alors que je prends au moins autant de risques que vous pour notre cause commune. Vous me considérez sans doute comme un ennemi, ou plutôt comme un rival, et par ressentiment vous me haïssez. Mais pas moi. Je vous plains, simplement. Vous feriez mieux de tourner votre exécration contre nos vrais ennemis plutôt que de vous complaire en haines intestines. Critiquez mes écrits si vous en avez la capacité plutôt que de perdre votre temps, votre crédibilité et votre courtoisie, à publier des ragots et des infamies contre moi. Guillaume FAYE
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Et la réponse de Beketch :

- les propos de Faye sont intégralement authentiques.
- L'enregistrement existe, bien sur.
- L'entretien est vieux de quatre ans
- je ne l'ai pas publié avant parce que je ne l'avais pas
- la personnalité de celui qui l'a réalisé n'a rien a voir là dedans. Ce qui compte, c'est ce qui est dit.
- La méthode n'est pas loyale, je le sais, je l'ai écrit dans la présentation mais elle est recommandée par Faye lui même qui se vante de l'avoir utilisée. Il se propose d'ailleurs d'y recourir contre moi pour me faire dire que je suis antisémite (tu parles d'une révélation !) et vendre ce “scoop” au Nouvel Obs ou a un autre torche-fion
- Les propos de Faye ne sont pas intégraement rapportés parce que le reste de l'entretien met en cause les moeurs intimes de responsables nationalistes qui, à croire Faye, seraient tous des pédés, des partouzards, des cocus, des impuissants. A ce degré d'obsession, c'est presque comique.
- Enfin Gofman n'a rien à voir avec cette publication. je suis le seul patron du libre Journal et Gof a découvert l'article au moment des corrections. Il n'intervient pas plus sur le contenu du journal que je n'interviens sur le contenu de ses papiers. C'est ma conception de la liberté.
Pour résumer : en publiant les propos de Faye, je n'ai eu qu'un but : montrer aux militants qui est le personnage .
C'est a cause de provocateurs dans son genre que des militants comme Lajoye ou Brunerie sont en taule .
je trouve dégueulasse qu'un type de bientot soixante berges joue avec l'avenir de gosses de vingt ans.
Si les vieux veulent faire de l'action directe, qu'ils mettent les mains dans la merde eux mêmes. il y a trop longtemps que des vieux fumiers envoient des gamins au casse-pipe et se partagenet ensuite les médailles auotour des monuments aux morts.
Le reste est foutaise.
Prétendre que je suis jaloux de Faye est grotesque, insinuer que je suis inspiré par l'appat du gain est ridicule.
Ceux qui veulent continuer à se faire arnaquer sont libres de le faire tant que ca n'engage qu'eux mêmes.
Quant aux leçons d'éthique journalistique (on a le droit de se marrer) , je n'en reçois pas plus que je n'en donne.

Solidarité nationaliste !

Serge de Beketch
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Journée passée à glander à la sono de la kermesse, entouré d'adorables jeunes gens. Comme le thème était les jeux olympiques, j'ai passé des chants grecs en boucle. Un peu chiant quand même, et puis le téléscopage Grèce antique/catholiques de sous-préfecture... Nourriture hors de prix, j'en ai eu pour deux fois plus cher pour mon repas que pour les cinq livres (scandales d'Etat, surtout) que je me suis offert. J'ai été également en partie responsable de la distribution des lots. Best of :

Le Master of Ceremony. Un petit côté drag queen, quand même. Mon lobbying en faveur du Rocky Horror Picture Show commence à porter ses fruits au sein de l'Eglise catholique.
C'est assez moi, ça, mais avec une barbe et sans bandana.
Je ne sais pas de quel esprit malade a pu germer cette toupie en forme de chaton rose obèse et empalé. En plus, on dirait qu'il a subi une trachéo.
Si, si, ce truc affreux est bien un jouet. Il faut imaginer un truc de chiffon sale et déchiré, doté de quatre membres et une tête en porcelaine sale. C'est atroce. On peut espérer que cette chose se réveille la nuit, descende de son étagère, s'empare d'un couteau de cuisine et vienne vous égorger durant votre sommeil.
Comme je m'emmerdais, j'ai fait un remix.

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